Dansle monde, il existe des Ă©nigmes, et ceux quâelles intriguent aimeraient en savoir plus long sur lâagencement, sur la trame de lâexistence. Ces Ă©nigmes, en voici des
PrĂ©sentation « Tout ce qui ne sâexprime pas sâimprime, et tout ce qui est imprimĂ© cherche Ă sâexprimer. ». Sur scĂšne, on apprend Ă gĂ©rer ses Ă©motions, Ă ĂȘtre en contact avec ! Vos
Ce qui ne s'exprime pas s'imprime" 25 Nov 2021. Dans notre société, dans certaines familles, et en fonction de notre éducation, nous avons parfois appris qu'il n'était pas
Vay Tiá»n Nhanh. Pour une qualitĂ© optimale QualitĂ© 1080p Mamouchka â qui signifie petite maman » â est une naturopathe holistique situĂ©e Ă Bangkok. Elle accompagne ses consultants » Ă lâaide de plusieurs disciplines tels que le Reiki, lâacupuncture ou encore lâEFT technique de libĂ©ration des Ă©motions. Dans ce nouvel Instant UMUN, Mamouchka nous partage les bienfaits de la naturopathie quâelle utilise au quotidien mais surtout lâimportance de nos Ă©motions dans le cadre de notre santĂ©. Le corps et le mental marchent main dans la main, pour guĂ©rir certaines de nos Mal-Ă -dit », il suffit de retourner Ă la racine Ă©motionnelle qui quant Ă elle, sâest souvent dĂ©veloppĂ©e dans notre enfance ⊠En savoir plus sur Mamouchka Ils aiment ce cours ! Aucun avis sur Tout ce qui ne sâexprime pas, sâimprime dans le corps » Laisser le premier avis
Sandrine Kersih La vieille GuĂ©risseuse de lâĂąme disait On nâa pas mal au dos, ce qui fait mal câest le poids de nos MAUX du passĂ© et du prĂ©sent. On nâa pas mal aux yeux, ce qui fait mal câest lâinjustice de l'enfance Ă Aujourd'hui. On nâa pas mal Ă la tĂȘte, ce qui fait mal ce sont les PENSĂES SOMBRES et LA CULPABILITĂ . On nâa pas mal Ă la gorge, ce qui fait mal câest ce quâon NâEXPRIME PAS par PEUR ou exprime avec RAGE. On nâa pas mal Ă lâestomac, ce qui fait mal câest ce que lâĂąme ne digĂšre pas, la MALVEILLANCE ENVERS AUTRUI. On nâa pas mal au foie, ce qui fait mal câest la COLĂRE et la HAINE. On nâa pas mal au CĆur, ce qui fait mal ce sont les blessures liĂ©es Ă la mauvaise interprĂ©tation de L'AMOUR qui vous ont conduit Ă vivre L'ABANDON, le REJET , la TRAHISON et la DĂCEPTION SENTIMENTALE. Et câest bien lui, malgrĂ© tout L'AMOUR, L'ĂNERGIE DIVINE CRĂATRICE Qui contient le plus puissant mĂ©dicament. L'AMOUR est la rĂ©ponse Ă tout vos maux. - Toutes les Ă©motions que vous refoulez Ă l'intĂ©rieur de vous-mĂȘme parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans diffĂ©rentes parties de votre corps sous forme de symptĂŽmes physiques Peur, Angoisse palpitations cardiaques, vertiges, sueurs, tremblements, mains moites. Panique diarrhĂ©es. ColĂšre retenue, Rancune crise de foie DifficultĂ© Ă trouver ou Ă prendre sa place infections urinaires Ă rĂ©pĂ©tition Quelque chose quâon ne veut pas entendre ou quand on ne veut pas sâĂ©couter otites, douleurs d'oreilles. Quelque chose quâon nâa pas osĂ© dire angine, maux de gorge. Refus de cĂ©der, de plier, dâobĂ©ir ou de se soumettre problĂšmes de genoux. Peur de lâAvenir, peur du changement, peur de manquer dâargent douleurs lombaires. Intransigeance, RigiditĂ© douleurs cervicales et nuque raide. Conflit avec lâautoritĂ© douleurs d'Ă©paules. Tout prendre sur soi Ă©galement douleurs d'Ă©paules, sensation d'un fardeau. Serrer les dents pour affronter quelquâun ou une situation sans rien dire douleurs dentaires, aphtes, abcĂšs. Peur de lâavenir, difficultĂ©s Ă aller de lâavant ou besoin de lever le pied » douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles. Bien sĂ»r, il ne faut pas gĂ©nĂ©raliser, ça peut ĂȘtre tout simplement un problĂšme mĂ©canique, faux mouvement, coup de froid....mais si vous ne trouvez pas d'explications, essayez de rĂ©flĂ©chir Ă ce qui se passe dans votre ressenti est-ce de la colĂšre ? de la peur ?... et prenez la composition de Fleurs de Bach qui vous correspond. Au besoin, faites la thĂ©rapie par l'Ă©criture, Ă©crivez ce qui vous prĂ©occupe, et brĂ»lez ou dĂ©chirez. Ăa permettra Ă l'Ă©motion de s'Ă©vacuer.
Dans un article paru en octobre 2014 Ă lâoccasion de la sortie en salles aux Etats-Unis de Dear White People texte traduit et publiĂ© sur ce site au moment de la sortie du film en France, Stephen Kearse pose dâentrĂ©e que La plus grande puissance du racisme est sa capacitĂ© Ă simplifier radicalement le monde », Ă rendre celui-ci univoque ». La tĂąche fondamentale de tout travail antiraciste consiste alors selon lui Ă contester et [Ă ] saper cette simplicitĂ© artificielle, en exposant la complexitĂ© implacable du monde ».LâĂ©tude du terme racisĂ©-e » et de ses usages permet justement de mettre Ă jour Ă la fois la maniĂšre dont les simplifications et rĂ©ductions du racisme imprĂšgnent lâantiracisme mĂȘme, mais aussi comment le vocabulaire antiraciste â et plus particuliĂšrement ce terme â peut ĂȘtre porteur de complexifications et de clarifications politiques salutaires. Câest toute lâambigĂŒitĂ© des usages du mot racisĂ©-e » dont nous aimerions ici lâorigine utilisĂ© par les universitaires et chercheurs en sciences sociales, le terme connait ces derniĂšres annĂ©es un succĂšs croissant dans les cercles militants antiracistes surtout parisiens. Il dĂ©signe les personnes noires, arabes, rroms, asiatiques, musulmanes, etc. renvoyĂ©es Ă une appartenance rĂ©elle ou supposĂ©e Ă un groupe ayant subi un processus Ă la fois social et mental dâaltĂ©risation sur la base de la race. Les racisĂ©-e-s » sont celles et ceux qui appartiennent rĂ©ellement ou non aux groupes ayant subi un processus de racisation ».CentralitĂ© de la raceEn renvoyant au processus social et mental de construction des groupes racisĂ©s », le terme a le mĂ©rite Ă©vident dâinsister sur le caractĂšre socialement construit Ă la fois des diffĂ©rences, mais aussi de leur essentialisation. Lâaccent est mis sur le fait que la race nâa pas le statut de catĂ©gorie objective, mais fait rĂ©fĂ©rence Ă une idĂ©e construite, qui nâa pas de rĂ©alitĂ© dans lâordre biologique ». Elle est un effet de lâactivitĂ© de catĂ©gorisation et de reprĂ©sentation des personnes[1] ». VoilĂ qui bat en brĂšche les discours visant Ă nier par exemple lâexistence dâun racisme antimusulmans islamophobie ou antijuifs antisĂ©mitisme sous prĂ©texte que ces groupes ne seraient pas des races ».Placer la race au centre du discours politise la question raciale et rompt avec lâantiracisme moral et le discours colorblind. Car le langage dominant aujourdâhui autour des questions raciales est typiquement celui dâun dĂ©ni de la race » rappelle Adia Harvey Wingfield dans un article au titre Ă©vocateur Si vous ne voyez pas la race, comment pourriez-vous voir lâinĂ©galitĂ© raciale ? ». Sâappuyant sur les travaux de sociologues, elle affirme que les mĂ©canismes qui reproduisent les inĂ©galitĂ©s raciales sont devenus plus cachĂ©s et obscurs que ce quâils Ă©taient pendant lâĂšre de la sĂ©grĂ©gation ouverte et lĂ©gale ». Le langage du racisme explicite a cĂ©dĂ© la place Ă un discours du dĂ©ni de la race. »Le terme racisĂ©-e » permet de rompre avec ce refus de prendre publiquement au sĂ©rieux la race, refus qui nâobĂ©it ni Ă un manque ou Ă une cĂ©citĂ©, mais permet justement de reconduire les discriminations et hiĂ©rarchies raciales. Quand on aperçoit dans son immĂ©diatetĂ© le contexte colonial, Ă©crivait Fanon dans Les damnĂ©s de la terre, il est patent que ce qui morcelle le monde, câest dâabord le fait dâappartenir ou non Ă telle ou telle espĂšce, Ă telle race[2]. » Le terme racisĂ©-e-s » exprime lâidĂ©e selon laquelle les conditions mĂȘmes dâexistence des racisĂ©-e-s » continuent aujourdâhui dâĂȘtre dĂ©terminĂ©es dans une trĂšs large mesure par la race et le blanc et racisme anti-blancs »En encourageant une comprĂ©hension structurelle du racisme comme systĂšme qui institutionnalise une distribution inĂ©gale des ressources et du pouvoir entre personnes blanches et personnes » Robin DiAngelo, le terme » met lâaccent sur lâexistence dâune barriĂšre raciale en montrant bien qui se trouve du bon cĂŽtĂ© de celle-ci celles et ceux qui ne sont justement pas comme », Ă savoir les et celles et ceux qui le condition toutefois de ne pas reconduire les essentialisations que lâon prĂ©tend combattre. Car les structures sont faites de personnes » et nous sommes tou-te-s impliquĂ©-e-s[3] ». Une focalisation trop grande sur un racisme structurel mal compris peut nous conduire au final a rĂ©assigner et renforcer les positions, catĂ©gories et hiĂ©rarchies du racisme mĂȘme, idĂ©e quâexprimait clairement Edward Said dans LâOrientalisme Quand on utilise des catĂ©gories telles quââOrientalâ et âOccidentalâ Ă la fois comme point de dĂ©part et comme point dâarrivĂ©e pour des analyses, des recherches, pour la politique, cela a dâordinaire pour consĂ©quence de polariser la distinction lâOriental devient plus oriental, lâOccidental plus occidental[4] [âŠ] ».Câest pourquoi les Blancs dont nous parlons ici se trouvent ĂȘtre ceux qui bĂ©nĂ©ficient du privilĂšge blanc[5]. Un privilĂšge qui ne peut ĂȘtre apprĂ©hendĂ© que de maniĂšre relationnelle, câest-Ă -dire en comparaison avec les discriminations racistes que subissent les » discriminations pour les uns signifie immanquablement avantages pour les problĂšme Ă©vident de cette acception qui dĂ©finit de maniĂšre nĂ©gative les » vis-Ă -vis de la norme â la blanchitĂ© â est justement de garder sans le nommer les Blancs comme rĂ©fĂ©rence. Câest pourtant, comme on vient de le voir, la maniĂšre la plus directe et immĂ©diatement comprĂ©hensible de montrer que la structure des privilĂšges est dĂ©terminĂ©e par la suprĂ©matie blanche. Et câest aussi dâune certaine maniĂšre prendre Ă la lettre la prĂ©tention des Blancs Ă ĂȘtre la mis sur la dimension structurelle â et bien comprise â du racisme quâinduit le terme » permet en outre de neutraliser de maniĂšre efficace le discours sur lâexistence dâun racisme anti-blancs », discours conditionnĂ© par une comprĂ©hension du racisme en termes exclusivement moraux et individuels le racisme est lâĆuvre de mauvaises personnes qui manifestent volontairement une hostilitĂ© envers dâautres personnes. Malcolm X relevait dĂ©jĂ que poser la question raciale en ces termes nâĂ©tait tout simplement pas la bonne maniĂšre dâapprĂ©hender lâexistence du racisme structurel. Câen Ă©tait mĂȘme la mot rĂ©servĂ© Ă une Ă©lite militante et universitaire?Si comme on vient de le voir les avantages Ă utiliser le terme de » sont nombreux, ses usages ne sont pas dĂ©pourvus dâambigĂŒitĂ©s et prĂ©sentent quelques dĂ©fauts majeurs. Le premier tient Ă©videmment Ă lâorigine mĂȘme dâun terme qui ne provient ni du langage quotidien des », etc., ni mĂȘme de la pratique militante, mais bien du lexique pĂȘchĂ© originel Ă©litiste » semble devoir marquer les usages mĂȘmes du mot. A titre personnel nous lâavons utilisĂ© Ă plusieurs reprises sur ce site et avons du lâexpliciter presque autant de fois aux » qui nous disaient ne pas en comprendre la signification. Expliquer Ă celles et ceux qui sont par un terme ce que le terme signifie nâest pas banal. Cela tient sans doute davantage au caractĂšre rĂ©cent du mot quâĂ sa difficultĂ© intrinsĂšque avec un minimum de bagage sur le racisme, sans ĂȘtre forcĂ©ment un expert, on peut comprendre ce quâil signifie ou du moins Ă quoi il renvoie dâ pourrait dâailleurs en dire autant des mots race » ou blancs » par exemple, que beaucoup y compris dans nos communautĂ©s rĂ©pugnent encore Ă utiliser⊠surtout face Ă des Blancs. Lâutilisation du mot » nâa dâailleurs de sens que dans une discussion sur le racisme qui mĂȘle les Blancs. Câest lĂ tout son intĂ©rĂȘt, en mĂȘme temps que sa limite le mot ne dĂ©signant que le rĂ©sultat dâun processus que nous connaissons depuis lâenfance, lâemployer entre nous est assez des chaussures trop petites Etre noir en AmĂ©rique, câest comme ĂȘtre obligĂ© de porter des chaussures trop petites. Certains sâadaptent. Câest toujours trĂšs inconfortable, mais il faut les porter parce que câest les seules que nous avons. Ăa ne veut pas dire quâon aime ça. Certains en souffrent plus que dâautres. Certains arrivent Ă ne pas y penser, dâautres non. Quand je vois un Noir docile, un autre militant, je me dis quâils ont une chose en commun des chaussures trop petites[6]. »Ces lignes extraites du passionnant livre dâentretiens de Studs terkel, Race, Histoires orales dâune obsession amĂ©ricaine, disent bien la rĂ©alitĂ© du vĂ©cu racial nous » portons des chaussures trop petites. Autrement dit, nous devons composer toute notre existence avec le racisme. Pour autant, nous ne sommes pas Ă la mĂȘme enseigne. Loin sâen le terme racisĂ©-e-s » recouvre des situations multiples, souvent Ă©loignĂ©es les unes des autres, en raison des spĂ©cificitĂ©s de lâhistoire migratoire en France. Celle-ci, rappelle SaĂŻd Bouamama, est Ă la fois un hĂ©ritage imprĂ©vu de la colonisation et une production de la mondialisation capitaliste, dont un des ressorts importants est la bipolarisation inĂ©gale Nord-Sud ». Bouamama poursuit Cette double source dâhĂ©ritage et de production du prĂ©sent conduit Ă une structuration en couche des Noirs et des Arabes de France sans-papiers, immigrĂ©s avec une carte dâun an renouvelable, immigrĂ©s avec une carte de dix ans, Français issus de la colonisation[7]. »Câest bien cette hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© que masque certains usages du terme » puisque le mot peut dĂ©signer tout Ă la fois des rĂ©cemment en France, que des ou ici depuis des gĂ©nĂ©rations. Aussi bien un sans-papier » comorien quâun Ă©tudiant marocain issu dâun milieu bourgeois venu faire ses Ă©tudes en les » portent bel et bien des chaussures trop petites, doivent composer avec des chaussures lĂ©gĂšrement inconfortables et dâautres avec des souliers bien plus douloureux. Un ami rĂ©sumait cela par une formule saisissante se plaignent du plafond de verre, dâautres de la rugositĂ© du sol. »Exposer la complexitĂ© implacable du monde⊠tout en gardant le capAujourdâhui, la race remplit vis-Ă -vis des Arabes, Rroms, Asiatiques et qui vivent en France sa fonction dâinstrument de domination et de catĂ©gorisation avec une complexitĂ© croissante. Si la conscience du racisme semble ĂȘtre bien plus aigĂŒe de nos jours, ses manifestations se font parfois plus subtiles, ce qui nĂ©cessite en retour une attention redoublĂ©e. Câest cette attention â nĂ©cessairement intersectionnelle â qui doit guider nos usages du terme ».UtilisĂ© avec discernement, sans fĂ©tichisme, le terme apparait comme un outil de plus Ă notre disposition, dont lâutilitĂ© est non seulement rhĂ©torique mais aussi politique. La catĂ©gorie de », qui renvoie Ă des expĂ©riences communes Ă travers le processus commun de racisation », a le mĂ©rite 1 de sortir de lâessentialisation, 2 de rompre avec un universalisme abstrait et pesant en reflĂ©tant au mieux nos subjectivitĂ©s, et 3 de ne pas emprunter au lexique de lâextrĂȘme-droite Français de souche », etc. pour parler de en gardant Ă lâesprit quâil existe des diffĂ©rences Ă la fois entre les groupes qui subissent le racisme, mais aussi en leur sein, la catĂ©gorie de » exprime lâidĂ©e selon laquelle, nous le rĂ©pĂ©tons, les groupes racisĂ©s » sont tous soumis au mĂȘme processus de racisation ». Un processus qui dâune certaine maniĂšre touche les personnes indĂ©pendamment de leur Ăąge, sexe, classe, etc., mĂȘme si dans les faits le racisme se manifeste diffĂ©remment selon ces qui en termes dâorganisation politique revĂȘt pour nous un grand intĂ©rĂȘt en permettant dâidentifier clairement des objectifs politiques communs, sans que cela nâentre en contradiction â bien au contraire â avec une approche intersectionnelle, plurielle, plus que jamais nĂ©cessaire. Mais Ă trop vouloir dĂ©finir par le menu toute cette pluralitĂ©, nous courons le risque dâune fragmentation Ă lâinfini des luttes, piĂšge que tout mouvement social Ă lâĂšre nĂ©o libĂ©rale doit invitation Ă lutter ensemble, en conscience de la pluralitĂ©, voilĂ comment nous comprenons ce terme de ».NOTES[1] Jean-Luc Primon, Ethnicisation, racisation, racialisation une introduction », Faire Savoirs N°6 â mai 2007.[2] Frantz Fanon, Les damnĂ©s de la terre, La DĂ©couverte, 2002, p. 43.[3] Reni Eddo-Lodge, Que rĂ©vĂšle la phrase Pas tous les Blancs » ?, Etat dâ Edward Said, LâOrientalisme, LâOrient créé par lâOccident, Seuil, 2003, p. 61.[5] Certains dĂ©veloppements sur le privilĂšge blanc sont empruntĂ©s Ă notre article Nous parlons trop calmement de choses violentes », in Rafik Chekkat et Emmanuel Delgado-Hoch coord., Race rebelle, Luttes dans les quartiers populaires des annĂ©es 1980 Ă nos jours, Editions Syllepse, 2011.[6] Studs Terkel, Race, Histoires orales dâune obsession amĂ©ricaine, Editions Amsterdam, 2010, p. 28.[7] SaĂŻd Bouamama, LâexpĂ©rience politique des Noirs et des Arabes en France. Mutations, invariances et rĂ©currences », in Race rebelle, op. cit., p. 29-45.* Merci Ă Amine et Joao pour leurs remarques et leurs prĂ©cieux ajouts.
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